Vendée globe 2013!!!

La collision avec un OFNI est une hypothèse, c'est du moins ce qu'il disait en entrevue.

"Son équipe technique a immédiatement procédé à l’examen du bateau et a constaté la rupture de la quille sous la flottaison. (....) La tête de quille sera soumise à des examens métallurgiques afin de déterminer les causes de cette rupture." page FB de la VG.

Tellement dommage, je n'ose pas me mettre dans ses souliers... Quelle déception!

Évidement ces voiliers sont calculés au fil du rasoir, question de sauver des grammes là ou c'est possibles. Et la moindre anicroche et c'est le salut-bonjour. Faut dire aussi que la vitesse de ces engins est telle, que le moindre choc génère des forces assez incroyables. A voir ces bateaux naviguer au près alors que leur coque quitte l'eau jusqu'à la bas du mat et tombe en claquant dans l'eau, m'a toujours fait penser que les architectes navals doivent bien calculer leurs affaires. Mais des fois, une erreur d'appréciation des efforts instantanés: Difficile à évaluer justement et ceci associé à la nature même de la fibre de carbone quiune fois sa limite dépassée casse immédiatement et sans prévenir: Brutal!. En fait le carbone je peut jamais servir de renfort parce que son coefficient d'étirement est tellement petit que dans le fond il ramasse tous les efforts et casse si cette limite est dépassée, alors que la fibre de verre a un coefficient d'étirement avant rupture autrement plus grand. Un Airbus 300 a perdu son empennage et est tombé près de New York: son empennage a cédé suite à la puissante turbulence d'un autre jumbo Jet . Les attaches en carbone ont cassé net. Drôle d'animal la fibre de carbone: Tout ou rien!

Groupe bel s est fait frappé par un chalutier en plein jour en plus!!! La vache ne ris plus ...


http://www.vendeeglobe.org/fr/actualites/article/2867/groupe-bel-heurte-par-un-chalutier.html

Skipper professionnel oui mais si je peux me permettre « Erreur de débutant, à trop se fier sur les nouvelles technologies et ne pas exercer de veille intensive en zone de navigation commercialle et de pêche arrive ce qui devait arriver! » Leur lazy boy à la table à carte est pret-être un peu trop confortable. Disont que la situation est un peu gênante pour le skipper devant son sponsor et son équipe qui travaillent sur ce projet depuis 4 ans. C'est sûr que je ne connais pas tout les cirsconstances de cet abordage, mais en plein jour ça l'air fou! Oui le paquebot n'avait peut-être pas son AIS fonctionnel tel que mentionner, mais ...........

Bah non!, bien plus simple: Une histoire de vendetta: La revanche d'une vache qui a été frappée par un coureur cycliste au tour de France.

C'est quoi les deux armartures rouges de chaque côté de son voilier? Elle semble rejoindre la tête de mât. Des tangons installés en permanence?

Louis Ariel a écrit:C'est quoi les deux armartures rouges de chaque côté de son voilier? Elle semble rejoindre la tête de mât. Des tangons installés en permanence?

Ce sont des barres de flèches de pont qui remplacent celles dans le mat.

ah bien oui, je n'en vois pas plus haut. Pourquoi si bas? Entretien plus facile en solitaire?

C'est ça et ça permet au mât de pivoter sécuritairement. La partie de ce Deck Spreaders qui est fixé au voilier est flexible comme tu peux voir sur la photo plus bas.

C'est pas des Jockey poles?

Moi je compte au moin 4 étages de barres de flece sur ls mat

Le jockey pole a pour fonction d'éloigner le bras de tangon pour ne pas qu'il donne sur les haubans lorsque le tangon est rendu pres de l'étai. Il serait logique de les laisser a poste en solitaire.

Erreur, je viens de penser qu'ils n'on pas de tangon.Ils sont avec Spi Asymétrique.

Donc j'irais plus pour justement un espece de tangon d'asy, pour permetre de l'ouvrir. Mais j'ai beau regarder les photo et je ne vois rien qui pemtrais de prendre la charge du mat via les haubans fixés la dessus.

Effectivement les habans semblent attaché a ces bout dehors.

Bon finalement ca s'appelle des outriggers. Ils ne sont pas permis a toutes les courses.

Régis a écrit:C'est ça et ça permet au mât de pivoter sécuritairement.

Si le mât pivote, il n'y a plus de vit-de-mulet??? Je croyais que c'est outrigger étaient ajustable de l'avant vers l'arrière selon les allures pour renforcir l'étai au près ou le pataras au portant et meilleur rigidité de l'ensemble compte tenue de l'éloignement des haubans.

Rock je crois que c'est un peu toute ces réponses. Ça ne veut pas dire qu'ils n'ont pas de vis de mulet selon moi. Remarque je peux être dans l'erreur, je n'ai jamais navigué sur un bolide comme ça. Je sais que leurs mats sont pivotant et que ces gadgets y ont rapports. Les catas avec mat pivotant me semble qu'ils ont une vis de mulet tout de même!

En fait ces tangons permettent de mieux tenir le mat en évitant de gros efforts de compression, imposées par des barres de ayant un angle plus fermé. Les haubans ont un meilleur angle de traction. Et en plus ces tangons n'appuient même pas sur le mat: Une focre de compression de moins!..

Kito de Pavant naviguait dans une zone interdite à la pêche, ce chalutier se cachait... donc pas repérable. Un imbécile. Ça faisait 10 minutes que le skipper était parti se coucher. Maheureusement pour eux, ils ne peuvent pas dormir que la nuit. C'est vital. Pauvre lui, ça doit être très dur à avaler...

Il raconte:

Carouf, le seul responsable est Kito. Le chalutier faisait son travail en zone légal ou pas et rien ne prouve pour l'instant que son AIS ne fonctionnait pas. Non Kito savait qu'il navigeait dans une zone dangereuse c'était à lui de mieux gérer sa navigation. C'est ce que je disais plus haut, on oublie les règle de base pour se fier à la technologie. Il ne peux que s'en vouloir et il le sait. C'est trop facile de mettre la responsabilité sur le chalutier. Dans ces bolides, le 3/4 du temps ils sont bien assis dans leur gros fauteuil super confortable à l'intérieur. Ils sont dehors juste pour effectuer les manoeuvres et faut pas croire qu'ils le sont constamment. Oui c'est un accident, mais il se devait d'être en vigie!

tu dis: Non Kito savait qu'il navigeait dans une zone dangereuse c'était à lui de mieux gérer sa navigation.

Je ne peux juger si c'était une zone dangereuse. Es-tu certain? En tout cas, c'est surement le dernier à vouloir prendre un risque! Si l'AIS du chalutier fonctionnait, il aurait été averti, à moins que ses propres instruments fonctionnaient mal...

C'est vrai que de jeter le tord sur le chalutier est peut-être trop rapide. Mais l'inverse est, je pense, aussi vrai...

Pour dormir, n'ont-ils d'autres choix que de se fier à la technologie pour se faire réveiller? Bien sûr, en s'endormant en zone sure... Le plus possible....

Mais en fait c'est le gros risque que prennent les navigateurs solitaires, surtout en zone côtière. L'autre risque c'est les ofnis. Pauvre gars, faut bien qu'il dorme et le jours ça semble le mieux: S'il ne voit pas , au moins les autres le voient. Mon radar a un mode veille qui en théorie devrait avertir en cas d'intrusion dans une zone de sécurité définie. Mais la fatigue...

“Nous avons croisé beaucoup de bateaux toute la nuit. Je n'ai pas arrêté
de veiller les cargos. Notre système AIS (positionnement des bateaux en
temps réel) marche très bien. L'alarme sonne, ce qui permet de changer
la route du bateau en cas de risque de collision. Le problème, c‘est que
ceux qui ne sont pas équipés du système, on ne les détecte pas.
J'allais entre 15 et 18 nœuds. Après avoir vérifié qu'il n'y avait
personne à la ronde, je suis allé me coucher quelques minutes et même si
j'avais été debout, c'était à l'heure où on regarde la météo devant
l'ordinateur, je n'aurais pas vu le chalutier. Il suffit de cinq
minutes. Il n'y a pas eu d'appel à la VHF. Je pense que les pêcheurs
n'étaient pas en veille. Avec le choc, je me suis réveillé en sursaut.
J'ai bondi sur le pont et fait ce qu'il fallait pour que le mât ne tombe
pas. Le bateau est très abîmé. Il n'y a plus de bout-dehors, il y a un
trou à l'avant de la coque mais le bateau est sécurisé. Toute cette
énergie dépensée depuis des années pour préparer tout ça, c'est
terrible.''

http://www.sharingsmilestour.com/article-voile-981-kito-de-pavant-abandonne-le-vendee-globe.html

Oui il était en zone commerciale! Gérer son sommeil est très difficiles les premiers jour et après le corps prend le rythme et souvent un petit alarme naturel se met en plaçe. J'ai un chum qui a frapper un cargo au large du Gabon il y a 4 ans, il dormait aussi. Il a eu l'humilité de dire qu'il était le seul responsable. Lui aussi était à son 3 ièmes jour de navigation, dans une zone à haut risque. Il a perdu sa goëlette. Il a toujours dit je n'aurais jsmais dû m'endormir et exercer une veille plus dicipliné. Kito a dit après en conférence que le Vendée Globe n'était finalement pas une compétition pour lui. Même Tabarly qui était entré en collision avec un cargo ne mettait le blâme que sur lui. Mettre cela sur le dos de l'AIS est une porte de sortie trop facile. S'il se serait échoué aux Canaries ce sera la faute du GPS!

Ça met encore plus en perspective leur coefficient de difficulté. Je leur lève mon chapeau. Endurance et vigilance...

Ce type de gréément me fait penser au mât ail d'Aquitaine Innovation, édition 1996 ou peut-être 2000. Ça fait un bon petit bout de temps que ces mât ailes ont fait leur preuve.

«Donc vu d'ici et avec les éléments en notre possession, les torts, moralement, sont partagés. Juridiquement, c'est le juge qui décidera»

Lire l'article plus bas : " Code de la route" de Michel DESJOYEAUX, "Seul double vainqueur du Vendée Globe (en 2001 et 2009), Michel Desjoyeaux est le consultant de L'Équipe et de L'Équipe.fr durant la course à laquelle il ne participe pas. Deuxième rendez-vous : le code de la route, après l'abandon de Kito De Pavant, qui a percuté un chalutier lundi."

[url=http://www.lequipe.fr/Voile/Actualites/Code-de-la-route/326486Michel DESJOYEAUX]www.lequipe.fr/Voile/Actualites/Code-de-la-route/326486Michel DESJOYEAUX[/url]

Pour ma part, la responsabilité incombe aux desx marins, le skiper et le chalutier.. par contre le gars dans le chalutier n était fort probablement pas seul a effectuer la veille donc...! Faut bien dormir a moment donné et a ce moment la vulnérabilité est a son comble.. Le meilleur choix était de dormir de jour afin d etre plus visible.. Une bad luck qui aurrait pu arriver a chacun de nous, qui n a jamais dormis au petit matin quelques minutes apres une nuit de navigation? En t k moi, je m en confaise, il m est arrivé souvent de dormir aux lueurs du jour sans personne en veille, ca arrive de nuit aussi et a ce moment la, on s en remet aux autres navigateurs, on prend une chance... Heureusement, je suis au lac st-jean et la nuit croiser est aussi probable que de gagner au loto. tres dommage pour groupe bel et pour le déroulement de la course... 2 jours 2 abandons, a ce rythme il ne restera plus personne dans les 20 jours!!

Étrangement, sauf dans les zones de séparation de trafic et quelques autres situation ou l'espace de maneuvre manque, la responsabilité est toujours partagée pour la simple raison que même le bateau prioritaire doit aussi assumer la responsabilité d'éviter un collision: Obligatoire.

Faut croire que les navigateurs solitaires n'utilisent pas le simple radar , car celui que j'ai , un modèle de base qui date de 7 ans, sonne une alarme quand il détecte un '' colision course '' c'est à dire que l'objet sur le radar et le bateau ont un cap qui converge. J'ai désactivé le mien car il partait seul souvent et que j.étais en mesure de vérifier les autres n'ayant pas de pilote automatique. Mais si j'étais seul en mer, je le ré-activerais pour cette raison précisément.

PJ

L'article mentionne que le radar est énergivore... Ce qui a pu influencer le jugement du skipper à s'en servir, surtout en plein jour. C'est selon moi l'erreur qu'il a fait, dans cette zone qui devait appeler la méfiance, car à bien y penser, il est naïf de croire que les pêcheurs respectent les zones règlementaires. Ils sont dangereux en tout temps, car ils ne veulent pas être pris en défaut ou encore révéler leurs "spots" via l'AIS. Mais quand même… Il est rare que deux bateaux se rencontrent, en plein jour, sans que les occupants ne voient l'autre navire arriver. Plusieurs pêcheurs étaient à bord du chalutier… Pas de chance.

Intéressant!

"On peut noter que cette course, comme toutes les courses longues en solitaire, était à l'époque simplement tolérée par les autorités. En effet, son déroulement est incompatible avec le règlement pour prévenir les abordages en mer, cf règle 5: Tout navire doit en permanence assurer une veille visuelle et auditive appropriée, en utilisant également tous les moyens disponibles qui sont adaptés aux circonstances et conditions existantes, de manière à permettre une pleine appréciation de la situation et du risque d'abordage."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Golden_Globe_Challenge

Il en est de même aujourd'hui, malgré tous nos outils...!

Cette nuit, à 3h10 heure locale, Burton a alerté la direction de course que son bateau, Bureau Vallée, avait été heurté à son tour par un chalutier, alors qu'il se trouvait à environ 400 milles à l'ouest de Lisbonne.

Le bateau filait alors à 18 noeuds et son radar tout comme son AIS étaient allumés. La visibilité n'était pas bonne, du fait d'une mer formée et d'un vent de 32 noeuds. Aussitôt après le choc, le navigateur a viré de bord au nord ouest afin de sécuriser son bateau, avant de décider dans la matinée, s'il abandonne ou non la course.

En attendant, François Gabart, sur Macif, mène toujours la course, suivi par Armel le Cléac'h sur Banque Populaire et Bernard Stamm sur Cheminées Poujoulat.

http://www.actunautique.com/article-l-hecatombe-continue-dans-le-vendee-globe-112435873.html

Terribles ces collisions en mer avec des bateaux de pêche. Mais quand on voit ces bateaux en travail au large, c'est pas surprenant: Tout est éclairé violemment, donc la visibilité est presque nulle de la passerelle, et encore moins du pont. Et comme les pécheurs savent qu'ils ont la priorité et donc n'ont pas un gros soucis des conséquences, sans compter qu'ils se sauvent parfois après une collision. Je me méfie toujours des pécheurs de crevettes sur la Côte Est, et à ce que je comprend les pécheurs Espagnols sont assez mal pris que ce genre de détails, comme une collision ou un abordage n'est pas sur la liste de leurs priorité. Dans le fond, comme les coureurs solitaires, ils comptent sur les autres pour éviter les collisions. Les cargos, sauf certains opérés par les anciens pays de l'est, assurent une bonne veille et font leur travail. Le gros soucis des chalutiers c'est d'être pris en contravention des lois de la pêche au large comme il arrive souvent dans le détroit du Labrador et les Grands Bancs ou ils se font parfois donner par les autorités Canadiennes des petits coups de règles sur les doigts pour avoir péché des bébés-turbots avec des chaluts à mailles minuscules. Vu l'état général des pêcheries dans le monde, l'endettement des patrons, la ressource qui disparaît, c'est pas étonnant: Ils veulent juste survivre un peu plus longtemps!.
Il faut dire que l'organisation de courses en solitaire est assez anachronique sur un océan plein de risques de collision et dans le fond en contravention directe avec les lois de la mer qui imposent une vigie continue . Mais l'argent, permet d'oublier ces obligations et personne en France n'oserait s'opposer à ces courses si populaires. Sans doute qu'une grosse tragédie en série comme une tempête gros modèle, une crise majeure permettra de changer les choses. En passant les autorités Australiennes qui doivent se porter régulièrement, à grands frais, et à grand risque au secours de ces solitaires assez fous finalement , ont à plusieurs reprises exprimées vivement leurs mécontentement, au point de menacer de ne plus répondre aux appels de détresse de ces coureurs. Mais comment refuser le moment venu?...
À mon avis, ces courses en solitaire au large sont un brin ridicules dans la réalité actuelle de l'encombrement des océans et les organisateurs de ces évènements profitent et même abusent des infrastructures de secours maintenues à grands frais par les gouvernements. On pourait imaginer que ces courses sans moyens de communication de détresse, sans possibilité de recourir aux secours organisés, comme par exemple Gélina ou Moitessier , perdraient quelques joueurs, quoique ces marins professionnels prendraient encore des risques ridicules, comme les pécheurs pour gagner leur vie... On voit bien ça avec le doping dans le sport malgré les risques pour la santé. Et on s'étonne de la corruption!... Pauvres nouzotes !

Ridicule ou pas, perso, je trouve ces courses particulierement exitantes... Ca releve du fantasme de plusieurs marins d effectuer une circumnavigation en solitaire et sans assistance.

La question a se poser ce serait plutot d obliger les coureurs a respecter un parcours a partir des sables , qui se situerait en dehors des zones de peches. C est pas normal que des abordages de la sorte se produisent et encore moins que personne ni d un bord, ni de l autre ne voit rien. Facile de lancer des pieres, mais pourquoi les pecheux n ont pas d ais? Pourquoi les voilieres n ont t ils pas un radar qu ils pourraient utiliser dans les zones de trafic intense?

C'est impossible de ne pas passer au travers des zones de peches.

Ils partent des cotes.

Ils font route vers les acores qui aura aussi des bateaux de peche.

Ensuite ca sera de traverser les routes des Cargos.



Pas d'AIS pas de garde de cote qui se demandent c'est qui qui peche dans mes eaux.

Chez pas lequel de ces navigateurs en course rencontrera la fin du monde le premier, prévu pour le 21 décembre, soit un peu plus qu'à la mi-course

C'est dommage la fin du monde le 21 decembre.

Car si on le fesait au complet il y 5 samedis, 5 dimanches et 5 lundi en decembre 2012. Chose tres rare il parait.

Ouais, mais ce sera une première fois qu'on aura un mois avec seulement 3 samedi, 3 dimanche et 3 lundi et après tous ces siècle nous n'aurons jamais eu la semaine des 4 jeudi...

Chez pas lequel de ces navigateurs en course rencontrera la fin du monde le premier, prévu pour le 21 décembre, soit un peu plus qu'à la mi-course

A mon avis c'est celui qui aura passé la date line le premier avant le 21 qui aura la joie de disparaître le premier... Alors que les suivant ceux qui seront encore de ce côté ci de lcette fameuse ligne qui coupe le pacifique dans la longitude des Fidji, auront presque 1 jour de plus à ce morfondre dans ce bas monde... Vont trouver le temps long!!
Paulix prétendrait que :

Ridicule ou pas, perso, je trouve ces courses particulierement exitantes... Ca releve du fantasme de plusieurs marins d effectuer une circumnavigation en solitaire et sans assistance.

L'idée de de faire harponner et rouler dans la farine par un vieux chalutier 'Spaniol tout rouillé quant à moi me laisse de glace...

Encore une mauvaise nouvelle

Savéol a démâté


Articles | vendredi 16 novembre 2012, 00h10

Ce jeudi 15 novembre à 19h45 (heure française), Samantha Davies a contacté la Direction de Course du Vendée Globe pour signaler que son bateau avait démâté. La navigatrice n’est pas blessée. Samantha est en sécurité à l’intérieur de son bateau dont elle a fermé toutes les portes étanches. Elle contrôle la situation et ne demande pas assistance. Elle est en combinaison de survie, son matériel de sécurité à portée de main.

Il manque un smiley avec plein de larmes qui coulent :-(

Je n'ai pas de félicitation à faire au site du Vendée Globe pour les mises à jour sur la cartographie. Je ne sais pas mais c' est évidammant pas plus de 4 à 5 mises à jour par 24 hrs. Pas fort!

Pauvre dame. Faut dire que voiliers pointus comme des lévriers sont tellement puissants que le moindre abus, pépin, erreur, et tu passe à la caisse!

4 abandons sur 20 skipper dans la 1ère semaine. C'est fou!!!

Comme c'est parti là ce ne sera pas un Vendée Globe qui passera à l'histoire. Deux collisions, un démâtage, une perte de quille et ce même pas encore dans les quarantièmes et cinquantièmes. Je souhaite bonne chance au restant des coureurs pour le reste du parcours. Si ça continue le challenge sera avec la compétition virtuelle!

Ca ne semble pas facile pour cette course, une véritable hécatombe apres une simple petite semaine...
Vraiment décu du dématage de Sam, elle apportait de la fraicheur dans ce monde de gars... Normalement, la casse arrive dans les 40e et 50e... A ce rythme la, il ne restera plus aucun bateau d ici 4 semaines... A suivre donc.

Le climat... Des vents de fous. Ce fut pareil pour la Qc st-Malo...

Les colisions !

PJ

Vicent Riou a frappé un tronc d'arbre . Plus de peur que de mal. En espérant que le safran et la quille nont pas été fragilisé par cet impact.

Louis Burton est un skipper super correct, honnête un vrai professionnel. Voici ce qu'il disait en conférence de presse à son retour suite à sa collision avec un bateau de pêche.

( Vous êtes déçu mais est-ce qu’il n’y a pas aussi de la colère ? Vous nous aviez dit que ce que vous redoutiez plus que tout, c’était la casse matériel… )
« Oui il y a de la colère aussi mais c’est de la colère envers moi-même. Je n’ai pas de rancœur contre le pêcheur ou contre qui que ce soit, juste contre moi. »

C'est ce que je disais, les skippers savent que cette zones est dangereuse pour les collisions or ils se doivent d'être en vigie en permanence quite à tout faire pour se tenir éveillé. Il prend le blâme et ça c'est admirable. Il ne sera que meilleur skipper suite à cet évènement. Bravo!

Problème sur Énerga!

http://www.beskid.com/View.php?ArticleID=1740

Un empannage chinois pourrait resembler a ca sur un VOR.

http://www.voilesetvoiliers.com/course-regate/empannage-chinois-sur-team-russia/

Il est bien humble, Burton, c'est tout en son honneur. Mais dans le fond, tous n'ont pas ben ben le choix de reconnaître que de faire cette course, c'est prendre beaucoup de risques. Car seul, il est impossible d'assurer une surveillance 24 sur 24 comme il le faudrait en tout temps dans les régions les plus à risque. Faut bien dormir, lire la météo, se faire à manger et tout le reste... Le risque d'abordage est quasi permanent, peu importe leurs compétences ou jugement... Il y a donc une portion de malchance. Liée à leur seule responsabilité d'avoir pris une chance... Pour leur plaisir. Et le nôtre! :-)

Je suis tout à fait de ton avis Carouf, sauf qu'il me semble un brin anachronique que ce genre de course en solitaire puisse encore avoir lieu en 2012-2013. Les premières courses en solitaire ont commencé dans les années 50-60 avec L'OSTAR à une époque ou les risques de collision étaient faibles alors que les risques liés à la météo étaient eux importants, les bateaux lents et très costauds. Mais maintenant, avec ces voiliers extrêmes capables de performances incroyables , complexes, légers, durs à mener avec leur gréement démesuré et surtout relativement fragiles, les risques pour les marins deviennent quant à moi assez difficiles à gérer. Cette année déjà 2 collisions, ce qui représente 10% de la flotte. Ce genre de taux de risque dépasse de loin les risques de guerre pour un militaire engagé dans une action directe(Regardez les décès et blessures de nos soldats en Afghanistan ). Ce grand spectacle ou l'argent des commanditaires(Ils z'appellent ça des Sponsors, ça fait plus chic, plus Américain! ) coule à flots, et dont organisateurs comme ceux de tous les évènements font de belles recettes commerciales en restant bien tranquille dans leur QG. Les pros de ces courses eux paient le vrai prix. Certains en reviennent avec honneurs et argent, qui compensent un brin pour leurs risques, alors que bien d'autres en sont quittes pour leurs plaisir et leurs souffrances. Ces marins sont courageux, mais il me semble qu'il assument pas mal!. Il me semble qu'une course à 2 équipiers serait plus correcte pour ces coureurs, moins risquée(Il y en a eu un qui a dû se recoudre la langue tout seul! ) et je me demande si le spectacle (Y a t-il vraiment spectacle durant ces 80 jours de la course ailleurs que dans notre tête?) serait moins bon. Vous comprenez sans doute que j'ai pour le moins des réserves pour cette course démente et que le passage autour de l'Antarctique et de 50 ièmes hurlants, n'est pas encore débuté. En tout cas les Australiens devraient demander aux organisateurs à payer les frais qu'ils assument à chaque course pour aller sortir de leur pétrin des coureurs qui sont en perdition A CHAQUE COURSE1 ... Ou les poursuivre au civil à la limite.(comme les compagnie de tabac! ) .. Ce serait intéressant!

Alain t-33 a écrit:Un empannage chinois pourrait resembler a ca sur un VOR.

http://www.voilesetvoiliers.com/course-regate/empannage-chinois-sur-team-russia/

My god que ca avance ces machines la!!
Je veux une ride!!

Dur première semaine encore ced matin un autre qui se déroute pour un problème de vérin de quille. S'il doit abandonner 15 resteront en course.

( Le Français Jérémie Beyou, qui participe au Vendée Globe, a signalé un problème avec la quille de son bateau (Maître CoQ) et se déroute vers les îles du Cap Vert pour procéder à une inspection, a annoncé son équipe dimanche matin. )

Donc ce midi encore 16 en course mais possibilité encore de deux abandons. Maître Coq pour trouble de quille et Énerga pour incapaciter à réparer le pilote automatique. Perdre un combat pour trouble de quille je conviens que ce n'était peut-être pas prévisible. Mais pour trouble de pilote automatique je ne comprendrais pas. J'en ai 2 sur mon voilier et je sais comment changer l'un pour l'autre et je suis loin d'un Vendée Globe. C'est pareil pour les collisions avec les cargos, problème de skipper simplement. Je lisais tout à l'heure Dominique Wavre qui disait « Maintenant que les conditions sont plus régulières, je dors demi-heure par demi-heure alors qu’avant je dormais par tranches de 10 minutes depuis le départ. » Ça dit bien ce que ça veut dire, par tranche de 10 minutes les risques d'abordable sont nuls. La question sera si ça continue, qui terminera la course?

C'est officiel voici le 5eme abandon

Jérémie Beyou déclare son abandon


Articles | lundi 19 novembre 2012, 12h35

Le skipper de Maître CoQ est arrivé aux îles du Cap Vert où il a pu analyser la situation. Avec son équipe technique, Jérémie a recherché toutes les solutions possibles pour pouvoir continuer la course. Mais aucune ne permettait à Jérémie de continuer dans des conditions satisfaisantes de sécurité sans l’apport d’une intervention extérieure. La règle du Vendée Globe stipule que le skipper ne peut recevoir d’assistance, Jérémie a donc annoncé à la vacation officielle son abandon.

J'espère qu'il va rester quelqu'un à l'entrée des 40 ièmes rugissantes.

Ouf, quelle hécatombe! 5 abandons en moins de deux semaines. Avec «Gutek» qui suit à la traine et qui semble vouloir faire demi tour, c'est à se demander si le Cap Horn verra passer la flotte en janvier. Sont aussi à surveiller les François Gabart et Armel le Cléac'h qui poussent la machine à fond la caisse. Vont-Il casser? Gabart est très bon, mais il est encore jeune et est réputé pour casser des bateaux lorsqu'il se met à trop pousser fort. Bernard Stamm attend tout juste le bon moment pour éventuellement s'installer en tête.

En tout cas pour quelques jours au moins, il n'y aura certainement pas de casse... Sauf la tête. Que les marins devront bien se fracasser à réfléchir à la stratégie de comment aborder le fameux Pot-au-Noir. Cette grande Zone de Convergence Intertropicale. Regroupés en petit paquet de 6 bateaux, englués dans des vitesses avoisinant 1,5 à 5 noeuds, les meneurs sont les premiers à y accéder. Qui va le mieux s'en sortir? Jean-Pierre Dick, fin stratège fait peu à peu son petit bonhomme de chemin. Ensuite, direction Cap de Bonne Espérance, la porte de l'Indien!