Le coté obscure de la chose

Comme il n'y a malheureusement pas que du positif dans la vie, j'ai la certitude qu'il peut nous être bénifique de partager nos mauvaises expériances. Les bris peuvent être matériel ou humain mais il est préférable de prioriser les histoires qui finissent par plus de peur. L'histoire désiré ici est la plus mémorable de chacun des skippeurs.

Dans le but d'agrémanter l'angouemant pour nos lectures mais surtout pour partager l'éxpériance du groupe.

Peut-être réussiront nous à éviter des erreurs déjà comises

Une autre version de la première sortie décrite par paulix:



OUFFFFF Toute une sorties. On pourraient rajouter que cette dite soirée là, ma batterie à décidé de flancher ... Donc ont avaient pas de feu de positionnement sur le navire et pas de vfh non-plus.... Sa allait mal a shop, même mon inséparable lampe frontale manquais à l'apel et la lumière d'entré de la marina était inexistante cette année la. Mon avatar est justemant pris cette fameuse soirée la (sans oublier que c'était au portant et sa roulait en tabaxxx) C'est également la première et unique foie que j'ai entandue paulix dire par 4 ou 5 reprise :~on prand tu un ris­~ lolololol.

Rendu près de la rive c'était une autre histoire, J'AVAIS FICHUEMENT PEUR AU ROCHE. (Régis à écrit l'histoire d'un couple partie de roberval qui s'étaient brisé sur une roche dans ce coin). Pour aider la chose paulix ne conaissait pas trop le secteur et n'avait donc pas de solide repaire donc c'était à moi de me débrouiller avec la bare (genre d'histoire situation ou tu est normalement contant de ne pas être skipper). J'ai ressanti un stresss incroyable quand à se maudit chenail qui n'apparaissait pas et ses roches a 4 pieds de profond a 500 pieds du bord.

J'aurais crue que la lune allait nous éclairer unpeu plus à notre départ .

Bref je l'aurait mis plus dans les mauvaises mais c'est vraie que le fun a été plus long que la peur.

J'ai faïs vômir toute ma bonne bière à cause des émotions. J'avais le feeling de l'estomac tordu.



La morale de cette histoire est de ne plus jamais oublier de gps quand on sort la nuit. Sur facebook, j'aurait clické un gros j'aime pour les petits gps portatif.

Tu m auras donc entendu dire: on prend un ris.. une fois dans ta vie.. souviens toi en car ca n arrive pas souvent ca.. et que dire de mon erreur d avoir laissé le gps dans la bete.. ca aussi ca n arrive pas souvent... 2 premieres, une soirée et bien du fun

Cette entrée de nuit est un méchant trou noir. Je comprend très bien votre angoisse. Mais on est chanceux aujourd'hui d'avoir des moyens technique tel le GPS pour nous guider. La première fois que j'ai fait le fleuve en 1976, on ne connaissait pas le fleuve et encore moins le mot GPS. Le stress que vous avez véçu faisait parti de bien des navigations. La brume, pas de radar, pas de Gps christ on est où? Oui la navigation est simplifié aujourd'hui et le bouton panique est au repos!

Malgré ça, on prend parfois des décisions qui nous laissent pantois devant le risque que l'on a couru.
Une fois sur un Morgan 41(Classique, tout neuf), On revenais d'une virée des Dry Tortugas, au Sud Ouest des Keys. Ça ventait fort, et en plein dans le nez, et tirer des bords avec un Morgan 41, dans de la vague de 8 pds, c'est pas le fort de ce bateau par ailleurs très solide et confortable. Mais ça tape cet animal au près et ça avance pas. Donc vers 2h du matin, je vois la passe de Venise (FL) : Toute droite et bien illuminée par la lune... que je crois. Comme tout le monde est fatigué, je décide, comme skipper qui dit que bof ça va brasser, m'enfin, pas plus. Je m'engage dans la passe et je comprend mon erreur. Ça déferle partout même parfois dans la passe mais surtout de chaque côté de la passe qui a bien 1 mile de long... Le pauvre Morgan 41 se prend pour un Laser et se met à surfer sur les déferlantes et menace de se mettre en travers, ce qui assurerait un chavirage garanti... Je suis à la barre et franchement c'est l'enfer: Je tourne ;a barre comme si c'était un moulin à vent pour tenter de remettre le voilier sur le bon chemin. Une dernière déferlante nous ramasse et nous faisons un surf d'au moins 300 pds comme un planchiste... Puis, pouf c'est fini, on a franchi la barre et tout devient calme. comme dans un petit lac.. J'ai les jambes en coton, on met l'ancre et demande si quelqu'un a noté la vitesse de notre dernier surf. Niet... Je me dit que j'ai surement battu deux records : Un de connerie de rentrer dans un truc pareil au lieu de rester au large, et l'autre record la vitesse que ce brave Morgan a dû atteindre. Surement dans les 15 nds...

Malgré ça, on prend parfois des décisions qui nous laissent pantois devant le risque que l'on a couru.
Une fois sur un Morgan 41(Classique, tout neuf), On revenais d'une virée des Dry Tortugas, au Sud Ouest des Keys. Ça ventait fort, et en plein dans le nez, et tirer des bords avec un Morgan 41, dans de la vague de 8 pds, c'est pas le fort de ce bateau par ailleurs très solide et confortable. Mais ça tape cet animal au près et ça avance pas. Donc vers 2h du matin, je vois la passe de Venise (FL) : Toute droite et bien illuminée par la lune... que je crois. Comme tout le monde est fatigué, je décide, comme skipper qui dit que bof ça va brasser, m'enfin, pas plus. Je m'engage dans la passe et je comprend mon erreur. Ça déferle partout même parfois dans la passe mais surtout de chaque côté de la passe qui a bien 1 mile de long... Le pauvre Morgan 41 se prend pour un Laser et se met à surfer sur les déferlantes et menace de se mettre en travers, ce qui assurerait un chavirage garanti... Je suis à la barre et franchement c'est l'enfer: Je tourne ;a barre comme si c'était un moulin à vent pour tenter de remettre le voilier sur le bon chemin. Une dernière déferlante nous ramasse et nous faisons un surf d'au moins 300 pds comme un planchiste... Puis, pouf c'est fini, on a franchi la barre et tout devient calme. comme dans un petit lac.. J'ai les jambes en coton, on met l'ancre et demande si quelqu'un a noté la vitesse de notre dernier surf. Niet... Je me dit que j'ai surement battu deux records : Un de connerie de rentrer dans un truc pareil au lieu de rester au large, et l'autre record la vitesse que ce brave Morgan a dû atteindre. Surement dans les 15 nds...